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Business & B2B

La France : Nation du dynamisme des start-ups

On les nomme start-ups, jeunes pousses ou entreprises en phase de lancement. Elles proposent souvent, vis à vis du secteur qu’elle vie des nouveaux concepts innovant, osés ou novateur, voire quelquefois totalement disruptifs des approches qui ont pu être lancées jusqu’à présent. Elles sont regroupées en France sous le dénominateur commun « French Tech ». Mais qui sont ces start-ups, et comment se positionne l’hexagone dans ce domaine ?

La France, pays des start-ups dynamiques et innovantes

Si vous suivez de manière régulière l’actualité des start-ups en France, vous devez souvent voir de nouvelles jeunes pousses et de nouveaux entrepreneurs tenter l’aventure de l’entrepreneuriat. Selon une étude BVA, ces jeunes chefs d’entreprise considèrent qu’il est facile de créer une telle structure en France. Avec une bonne dynamique d’activité, leur chiffre d’affaires moyen est passé de 2,12 millions d’euros en 2013 à 5,29 millions en 2016. L’étude, s’étant penché sur pas moins de 1200 start-ups démontre que les régions les plus dynamiques en la matière sont :

  • l’Auvergne Rhône-Alpes (11%)
  • l’Occitanie (7%)
  • l’île de France (51%), qui demeure le berceau des start-ups

Parmi les secteurs sur lesquels elles se positionnent, on peut retrouver principalement : les technologies des services et de l’information (18%), les services aux entreprises (17%), et enfin l’électronique, à hauteur de 9%.

Qui sont les créateurs de start-ups ?

85% des entrepreneurs sont masculins, contre seulement 15% de femmes franchissant le pas. Ils ont, d’une manière générale, moins de 30 ans, et ont une idée révolutionnaire qu’ils comptent bien développer et commercialiser. En affinant le domaine des CSP et des classe d’âge, 35% d’entre eux se situent dans une classe d’âge de 25 à 29 ans. ¼ se positionnent dans celle des 30-34 ans. Enfin, ils sont 25% à avoir plus de 35 ans.

S’ils se lancent juste après avoir eu leur diplôme de fin d’étude, beaucoup d’entre eux ne possèdent que de « légers bagages universitaires ». La majorité sont toutefois diplômés d’écoles de commerce, ont un niveau master, ou ont fait une école d’ingénieurs. Les autodidactes existent aussi, mais dans une proportion bien moindre.

En terme géographique, Paris reste d’une manière certaine le berceau des start-ups, ou on trouve par exemple des incubateurs comme Station-F. Ces structures permettent, comme leur nom l’indique, de «couver » les jeunes pousses pour une durée donnée, le temps qu’elles arrivent à maturité dans leur projet. De nombreux programmes permettent ainsi de les accompagner durant leur phase de croissance, avec des collèges d’experts dans différents domaines : industriels, financiers ou bien encore juridique. IL n’est en effet évident de s’y retrouver dans ce parcours du combattant, ou l’encadrement par des personnes seniors dans leur domaine est salvateur.

Après la conception, les tests et phase béta des produits, la hase industrialisation et de commercialisation des produits ou services marquent une nouvelle étape. Dès lors, c’est l’accélérateur qui s’avère être le plus pertinent, pour accompagner les start-ups dans leur croissance. Durant ces phases, des levées de fonds sont souvent nécessaires, non seulement pour faire évoluer le produit techniquement, mais aussi renforcer les équipes avec des recrutements . Dans certains nouveaux concepts à succès, une internationalisation peut même envisagée assez rapidement.

Autre fait marquant concernant les fondateurs, ils sont souvent amis ayant une idée en commun qu’ils souhaitent faire aboutir (27%). la plupart d’entre eux se sont d’ailleurs connus à l’école (24%).

Parmi les motivations personnelles qui poussent les jeunes à entreprendre, l’étude dévoile les statistiques suivantes :

  • l’envie de relever des défis (71%)
  • Participer à l’innovation (55%)
  • Sortir de l’autorité patronale ou salariale (40,1%)

En résumé, l’essor des start-ups en France est réel, avec Paris pour épicentre. La seule ombre au tableau est qu’un certain nombre de start-up font faillite avec leur cinquième année, ce qui n’empêche pas ces entrepreneurs de redémarrer avec, souvent, une idée plus abouti, et une expérience de ce qu’il ne faut plus faire.

Les start-ups en France ont donc de beaux jours devant elles.

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